Opale fait son Show

Vous

Êtes-vous un garçon ou une fille ? Une fille !
Une rapide description de vous : Ben… J’ai pas vraiment grand chose à dire de moi ! xD Juste que j’aime les chevaux, lire et écrire et voilà… (enfin pleins d’autres choses que vous ne saurez pas ! )
Comment jugez-vous votre niveau de RPG ? (novice, moyen, bon, voire très bon ?) Je pense que mon niveau se trouve dans la catégorie «assez bon»
Comment avez-vous découvert le forum ? Je suis administratrice
Certification de votre lecture des règles : Idem

Votre personnage

Nom : Ducs’in
Prénom : Opale
Âge : 17 ans
Être : Humaine
Empire : Jitely
Camp : L’alliance Ultime
Métier : Voyageuse et princesse à ses heures perdues.
Magie : (si oui, précisez laquelle) Opale maîtrise la magie blanche et la magie rouge.

Famille :
¤ Fratrie : Opale a trois petits frères de 13 ans qui sont triplés. Ils se ressemblent comme des gouttes d’eau, à une différence près pour chacun : la couleur de leurs yeux. En effet, le premier, Nakuo, a les iris gris foncés presque noirs, alors que la couleur du deuxième, Erwan, est plutôt verte, profonde comme la jungle, et celle du troisième, Gab, plutôt bleu de la teinte des océans qui entourent les îles tropicales.
¤ Parents : Le père d’Opale, Oly, est tout d’abord le Roi de Jitely. Il a connu sa mère lors de ses jeunes années et l’a aimé dès que son regard s’est posé sur elle. Ensemble, ils ont bravé mers et océans, tempêtes et ouragans. Mais malheureusement, lorsque Opale eut quatre ans, sa mère mourut. Enceinte des triplés, elle n’avait pas survécu à l’accouchement et les avait donc quittés après avoir demandé à son mari :

-Soit heureux sans moi. Refais ta vie, tu le mérites mon amour…

Mais Oly entra dans une période sombre de sa vie : une grande dépression s’empara de lui pendant plusieurs mois. Neuf exactement. Jusqu’à ce que Nakuo prononce son premier mot… « Papa ». Cela avait tout changé, et radicalement. C’est alors qu’il rencontra Alia qu’il épousa. Elle était douce, gentille et avait un vrai instinct maternel. Elle avait élevé les triplés comme si s’étaient ses propres fils, bien que ce soit un peu plus dur avec Opale. Mais cette dernière accepta assez vite sa belle-mère.

Physique : ( 6 lignes minimum )
Opale, c’est tout d’abord un saut de panthère dans la nuit. Délicate ombre à la vivacité troublante et qui porte un danger imminent.

Ses cheveux noirs, toujours en bataille, lui donnent vraiment une allure sauvage. Libre, telle qu’elle l’est. La jeune humaine dégage une aura animale : elle n’est pas une princesse ordinaire. Pas de froufrous par-ci par-là, ni rien qui soit superficiel. Tout dans la profondeur. Sa chevelure aux accents de liberté possède des reflets chauds lorsque le soleil s’y amuse. Son teint de peau, plutôt foncé mais pas vraiment mat, fait penser à des accents elfiques alors que ses yeux à la couleur variant entre le vert et l’orange font songer à un félin. Tout en elle ramène à la nature. Ses yeux, très légèrement en amandes et aux couleurs inaccoutumés, ont toujours une lueur espiègle qui danse au fond. Son nez est sensiblement en trompette et ses lèvres un peu charnues et d’une couleur ambrée naturellement.
Son cou, fin et délicat, aime avoir posé sur lui un regard. Ses épaules, son dos et ses bras, délicieusement musclés, sont fins mais dégagent une puissance hors du commun. Son ventre, plat où l’on peut voir les abdominaux, ferait bien des jalouses et jaloux ! Opale a des cuisses taillées pour la course, toutes dans la longueur. Ses formes féminines sont très attirantes et suscitent bien des regards chez la gente masculine.

En somme, Opale semble être une de ses statues d’ivoires taillées par les plus grands sculpteurs, à en faire pâlir notre très cher Leonardo da Vinci.

Vêtements : ( 2 lignes minimum )
Opale porte la plupart du temps un short en toile de tente, resserré à la taille par une ceinture de cuir marron et un débardeur court blanc, coupé juste sous les côtes. Ces habits mettent en valeur sa silhouette parfaite.
Mais lorsqu’elle est au palais, son père lui interdit de porter ses vêtements fétiches. Après d’âpres disputes, elle s’est décidée à mettre une longue robe blanche avec de fines bretelles et un décolleté raisonnable lors de ses visites au palais, ou même dans la ville. Cette robe, faite sur mesure par les plus grandes couturières du palais, lui sied parfaitement et moule sa taille de guêpe avec une élégance à en faire baver le plus insensible des hommes.

Caractère : ( 6 lignes minimum )
Opale a un caractère bien trempé : sûre d’elle, elle a toujours ce qu’elle veut. Mais elle déteste laisser faire les autres : si elle veut quelque chose et qu’elle l’obtient, elle ne peut être fière que d’elle-même. Elle est très indépendante et sait faire tout ce qu’il faut pour survivre : nourriture, premiers secours, etc. Être princesse ne lui a pas empêcher de s’affirmer. Le peuple de Jitely l’adule car elle n’est vraiment aucunement superficielle. Têtue, elle va toujours au bout de ce qu’elle veut. Intelligente, Opale a pour habitude d’écouter les autres et de mémoriser les détails qui changent tout, les plus pertinents. Elle forge ses avis sur du vécu et non sur des soi-disant. Elle ne se prend pas pour quelqu’un de « supérieur » et se met à l’égal des autres en les respectant, elle ne se permet pas de juger quelqu’un ou quelque chose : elle sait pertinemment qu’elle n’est pas toute puissante. Elle porte depuis peu la tristesse sur elle, bien qu'elle arrive parfois à sourire. Elle n'a connu qu'un grand amour et n'en veut pas d'autre, car elle lui a juré fidélité jusqu'à sa propre mort.

Savoirs-faire : (3 lignes minimum) Opale, grâce à un entraîneur hors du commun, a une technique de combat très avancée. En plus de cela, grâce à sa magie rouge, lorsqu’elle s’en sert plus personne ne peut l’arrêter. Sa magie rouge est tellement développée en elle depuis sa naissance qu’elle est obligée de la contenir, même si elle est toujours à fleur de sa peau. Malgré les barrières qu’elle a érigé, la magie est tout le temps dans ses veines et un courant se faufile continuellement autour d’elle, la rendant bien plus séduisante et attirante en secrétant perpétuellement les hormones dont les mâles sont fous. Sa pratique de la magie blanche est bien moins en profondeur que sa magie rouge tout d’abord parce que celle-ci ne l’a pas habitée depuis sa naissance et ensuite car elle en a bien moins souvent besoin. Avec sa magie blanche, elle peut s’élever tout de même dans les airs et elle la contrôle quand même bien mieux que la majorité des personnes.

Manières de combat : Opale n’aime pas particulièrement les combats armés. Elle n’utilise que des sortes de lames qu’elle accroche à son poignet droit et qui sont dirigées vers l’avant quand elle sert son poing. Elle préfère combattre avec sa magie blanche mais généralement, elle ne s’en sert que contre « des ennemis qui en valent la peine ».

Histoire :

Opale est née une nuit d’été, alors que la chaleur était écrasante et l’humidité étouffante, dans une jungle des plus profondes. Son père avait envoyé sa mère loin du château pour sa survie et elle avait voyagé vers la jungle la plus proche. Elle avait accouché quelques jours après son départ.

De 0 à 3 ans :

Opale est restée trois années loin de son pays, avec sa mère dans la jungle, sans connaître ni son père, ni ses origines. Les trois ans qu’elle y passa lui apprirent comment survivre seule dans une jungle. Elle sut marcher particulièrement tôt : à dix mois. Elle apprit très vite à nager puis à monter dans les arbres, bien que ce dernier apprentissage se déroula plus tard, alors qu’elle avait deux ans et demi. On pourrait surtout noter qu’elle était particulièrement en avance pour son âge et que sa mère décela très vite la magie rouge qui la possédait et donc lui permettait de contrôler bien mieux son corps. Le jour de ses trois ans, sa mère fut rappelée au palais de Jitely.

De 3 à 8 ans :

Trois soldats avaient cherché plusieurs jours dans la jungle sans trouver d’indices mais finalement, au bout de plus d’une semaine, ils finirent par trouver le campement des deux réfugiées. Nahis expliqua à sa fille qu’elles rentraient chez le vrai « chez elles », au palais, et qu’elle allait connaître son papa.
En effet, Opale rencontra Oly, vit le palais dans toute sa splendeur : de sa courte vie dans la forêt, une telle luxure ne lui avait pas été accessible, évidemment. Un an plus tard, Nahis accoucha de ses trois frères et quitta ce monde. Opale fut très triste, tout comme son père. Mais tous les deux s’occupaient avec tout leur amour des garçons, avec l’aide de nourrices.
Lorsque les petits eurent un an, Nakuo, le premier sorti, prononça son premier mot : Papa. Ce fut le déclencheur d’une vie presque incessante au palais. Oly réussit à reprendre confiance en la vie et Opale se plongea dans le travail : elle voulait parfaitement contrôler sa magie rouge. Ce fut évidemment un travail de longue haleine et elle ne la contrôlera jamais entièrement car son étendue est bien au delà de toute limite.
Pendant trois ans, nuits et jours, elle travailla, travailla.

De 8 à 17 ans :

Elle travailla, travailla… Jusqu’à pouvoir en une demie seconde amplifier démesurément ses capacités. Puis, lorsqu’elle eut dix ans, son père lui donna un mentor qui lui apprit l’art du combat pendant cinq longues années. Cinq longues années de travail, encore et encore. Opale aiguisa ses sens jusqu’à les pousser au maximum de leurs compétences, ses mouvements se firent gracieux mais d’une précision hors normes. En même temps, elle apprit la magie blanche et put au bout de deux ans et demi se soulever de terre grâce à elle.
Bien sûr, comme tous les frères et sœurs, Opale et les triplés se disputèrent, mais cela n’allait jamais très loin. Sauf une fois. Une seule, mais qui resta gravée dans la mémoire de chacun.
Nakuo essayait d’espionner Opale dans sa chambre car il pensait qu’elle avait un chéri. Mais elle était sortie par la fenêtre et donc hors de la pièce. Son petit frère appela ses deux tiers et ils voulurent faire une blague à leur sœur aînée. Ils dévastèrent littéralement sa chambre. Lorsqu’elle rentra dans la nuit, accompagnée d’un jeune homme, elle découvrit le chaos dans lequel la pièce était. Un courant passa dans ses veines et fit briller méchamment ses yeux. Les objets commencèrent à léviter autour d’elle pour aller se poser à leur place respective. La magie rouge qui habitait Opale n’était plus retenue par ses frontières et son flot se déversa lentement dans ses veines. En trente secondes, elle saturait presque le sang de la jeune fille. Telle une ombre dont la vitesse est indicible, elle courut vers ses frères… Et leur lança une gifle à tous les trois. Sans se retenir, avec toute la force de la magie. Heureusement que Gab détenait depuis sa naissance la magie blanche en lui et avait épaissit l’air autour d’Opale, car sinon, elle leur aurait arraché la tête !
Après cet incident, Nakuo, Erwan et Gab n’osèrent même plus regarder leur sœur dans les yeux tellement ils étaient terrorisés.
Le garçon qu’elle avait ramené dans sa chambre, elle le présenta à son père et à sa belle-mère, Alia, portant ce titre depuis peu. Il faisait presque partie de la famille, l’ayant demandée en mariage depuis quelques jours, lorsque ce terrible accident arriva…
C’était un jour d’été où les nuages dominaient largement le soleil. Un orage s’annonçait, ainsi qu’une visite au palais. Natwe flânait avec Opale dans les jardins lorsque cette immense silhouette noire leur était apparue. Sans prévenir elle était passée à l’attaque en visant Natwe d’un poignard sombre mais rouge de sang. Opale eut un de ses réflexes prodigieux et dévia la lame juste à temps pour sauver son ami. C’est alors que l’ombre sortit une lame de sous ses habits amples et balaya l’air d’un revers qui devait atteindre la hanche de la princesse. Mais Erwan n’était pas de cet avis, et il s’interposa. Il se reçut le coup destiné à sa maîtresse dans le ventre, puis un coup de poignard directement dans le cœur…

- Je t’aime, Opale.

La colère monta très rapidement dans les veines de la jeune fille. Sans même avoir besoin d’une de ses magies, elle pivota sur ses hanches et donna un grand coup de coude dans la nuque de son adversaire… qui s’écroula immédiatement. Elle lui ôta sa capuche et découvrit avec stupéfaction le blason de l’entente brodé sur la poitrine du cadavre. Ils avaient encore frappé… Et un peu trop fort.

Depuis ce jour-là, ce jour où on lui a enlevé son amour, son seul amour, elle porte sa tristesse sur ses épaules. Il faut le dire, elle a eu un goût de vengeance dans la bouche, mais son esprit noble le lui ôta : la vengeance est pour les faibles. Et elle n’est pas de cette catégorie.